Projets
Les ecoparkings sont des parkings avec un impact favorable sur l'environnement. Ceci sur la base de cinq facteurs que nous aimerions expliquer ci-dessous. D'une part, un éco-parking est un parking très fréquenté. D'autre part, un éco-parkings'adresse à différents groupes cibles. Ce parking payant moderne peut être utilisé par les entreprises pendant la journée et par les résidents le soir.Dans un hôtel voisin, les clients de l'hôtel font également partie du public cible. Après tout, les places de parking vides pendant la journée ne sont pas optimales pour une utilisation. Deuxièmement, un éco-parking est de préférence situé sous terre. De cette manière, un espace ouvert au-dessus du sol, tel qu'un parc ou des jardins, pourra être libéré. Les places de stationnement écologiques peuvent donc être une alternative pour développer plus de vert dansles zones urbaines. Troisièmement, un éco-parking croit en l'énergie verte. Il s'agit donc d'un parking composé principalement de bornes de recharge pour les voitures électriques. Énergie verte et espace vert, tel est l'objectif de l'éco-parking.
A partir du 1er janvier 2026, seules les voitures sans émissions en Belgique pourront bénéficier d'une déduction fiscale. Actuellement, la plupart des parkings de rotation actuels ne sont absolument pas prévus à cet effet. L'installation de bornes de recharge électrique avec une alimentation électrique suffisante dansles parkings payants existants n'est donc pas une sinécure. De plus, c'est un investissement majeur qui peut rapidement s'élever à 100 000 euros.Actuellement, il existe déjà une forte demande de places de chargement pour voitures respectueuses de l'environnement dans les environnements professionnels et les parkings de transfert. De grandes marques telles queJaguar, Ford et Volvo ont déjà récemment pris la décision de seulement produire des voitures électriques à partir de 2030. Il est donc logique que la demande des éco-parkings va continuer d'augmenter.
Fjord RED est un développeur de projet spécialisé dans la mise à niveau des sites aux carrefours très fréquentés. En concertation avec des opérateurs professionnels et un travail d'étude bien fondé, Fjord a trouvé un emplacement approprié à Zaventem pour son premier éco-parking. Cet emplacement a été choisi en raison d'une grave pénurie de places de stationnement standard disponibles pour le moment.La rareté se reflète actuellement également dans la tarification des parkings surveillés. Si vous vous garez dans un parking souterrain rotatif, les prix dans les circonstances normales varient rapidement entre 14 et 49 euros par jour. Il n'y a pas seulement un besoin de places de stationnement standard. Les bornes de recharge électrique sont également déjà extrêmement rares et fréquemment occupées.
Une nouvelle augmentation de la demande est attendue dans la région de Diegem - Zaventem, en raison de la capacité économique supplémentaire que l'aéroport souhaite générer. Entre 2002 et 2019, le nombre de passagers est déjà passé de 14millions à 26 millions. Grâce à des investissements majeurs dans les infrastructures aéroportuaires, Zaventem vise à desservir plus de 40 millions de passagers d'ici 2040.
Cette tendance n'est certainement pas passée inaperçue dans le secteur privé. Actuellement,25% de l'emploi belge est situé dans un rayon de 25 kilomètres de la zone aéroportuaire. Il est également appelé «le» centre de gravité économique.Evidemment, ce n'est pas sans raison. Après tout, le nombre d'espaces de bureaux a augmenté d'au moins 34% au cours des trois dernières années. Même après la crise corona, il y a des attentes encourageantes quant au poids économique de la zone aéroportuaire pour l'emploi belge.
Un quatrième facteur qui peut avoir un impact positif sur l'occupation et l'utilisation de l'éco-parking à long terme est la proximité de la Région bruxelloise.Actuellement, le pentagone, le centre de Bruxelles, est en grande partie sans voiture. Cette mesure a été appliquée en raison de la crise corona, mais sera certainement prolongée jusqu'à la fin des vacances d'été. De plus en plus de parkings en Région bruxelloise sont mis au rebut, afin de promouvoir et de stimuler davantage les pistes cyclables et piétonnes vertes et sûres.L'intention est de minimiser le trafic automobile dans la région bruxelloise et de poursuivre le plan de circulation de Gand. Concrètement, cela signifie construire des parkings payants à la frontière de la Région bruxelloise et deZaventem. De cette manière, les visiteurs peuvent se garer en dehors de Bruxelles puis prendre le tram ou le métro en direction du centre. Cela se concrétisera également dans la zone aéroportuaire par l'extension de la ligne de tramway et de métro existante, ces plans sont prévus pour 2025 et 2028.
Le cinquième et dernier facteur est le nombre limité de terrains à bâtir en périphérie bruxelloise pour les parkings payants. Un parking payant a besoin d'une surface au sol suffisante, ce qui rend très difficile de trouver un emplacement approprié pour cela. En effet, pas toutes les parcelles à bâtir ne sont adaptées pour servir de parking rotatif. Cela complique évidemment la recherche de l'emplacement idéal.
• Un investissement tangible
Qui investit dansdes parkings payants investit à la fois dans l'immobilier et dans la préservation du pouvoir d'achat. Après tout, les tarifs des parkings ne sont pas liés à l'indexation et suivent donc le rythme de l'inflation réelle. En d'autres termes, si la vie devient plus chère, les tarifs de stationnement augmenteront proportionnellement.
• Peu ou pas de frais de maintenance
Contrairement aux appartements ou aux maisons, les techniques, les conduites et donc les coûts d'entretien sont relativement limités. Ce qui est un fait très positif pour les investisseurs en éco-parking.
• Aucun problème avec les défaillants
En entrant dans un parking, on prend toujours un ticket, ce qui rend impossible de sortir sans payer. Les clients donnent littéralement leur voiture en guise de garantie. Le nombre de défaillants est donc pratiquement inexistant.
• Aucun dommage comme avec un appartement classique
Il est impossible de faire beaucoup de dégâts dans un parking payant ... Une voiture qui heurte un poteau en béton cause plus de dégâts à la voiture qu'au béton. Si des dommages sont néanmoins causés, les voitures sont toujours assurées d'avoir une assurance. En tant qu'investisseur, vous avez donc jamais à vous soucier des dommages potentiels. Un investissement sans soucis.
• Liquidité
Vous pouvez acheter un pack de places de parkings écologiques à partir de 105 000 euros. En d'autres termes, un budget limité pour un achat immobilier. Si vous souhaitez le revendre, il y a la possibilité de le diviser et de le vendre par place de parking. Le prix d'entrée étant assez bas, les emplacements sont accessibles pour différents budgets et donc plus liquides que l'immobilier traditionnel. Il y a beaucoup plus de personnes avec un budget de jusqu'à 100 000 euros que de personnes avec un budget de 200 000 euros ou plus. Trouver un acheteur disposant de ressources suffisantes est donc beaucoup plus simple.
• Diversification-
Un conseil en orque nous, conseillers immobiliers expérimentés, pouvons vous donner est:"Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier!". En tant qu'investisseur, il est judicieux de répartir le risque. Concrètement, cela signifie que les risques sont réduits car vous investissez dans différents types de valeurs. Si vous possédez déjà une résidence secondaire ou un appartement, il peut être judicieux d'investir maintenant dans autre chose, comme l'éco-parking. Après tout, si les prix des logements devaient baisser à l'avenir, cela ne signifie pas que les parkings rapporteront moins. Cependant, ces deux éléments établis doivent être considérés séparément.